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Maintenant, tu bûches : LES CHEMINS DE PLANCHES

Des cellules de « Maintenant, tu bûches »
Des cellules de « Maintenant, tu bûches » Des cellules de « Maintenant, tu bûches »
Des cellules de « Maintenant, tu bûches »

Abattage en hauteur
Les chemins de planches 1 2 3 4
Abatteur et tronçonneur

On chargeait les billes à bardeau dans des brelles. On utilisait une chaîne élévatrice actionnée par un moteur refroidi à l'air pour sortir les billes de l'eau.

Un équipage à bord des brelles empilait les billes et c'était un travail astreignant. Il fallait prendre grand soin de charger les brelles également, sinon elles verseraient et videraient le chargement. Les hommes iraient se baigner involontairement et il y avait toujours le risque d'être pris et écrasé dans la masse de billes.

Les brelles chargées étaient remorquées par un gros remorqueur à vapeur pour les scieries éparpillées le long du majestueux fleuve Fraser. Là, les billes étaient coupées en bardeaux, que l'on mettait en paquets et vendait pour couvrir les toits partout au monde.

Voici les bâtiments du premier camp. Ils ont duré parce que la neige n'est pas aussi lourde ici que plus loin dans la vallée.

C'était toute une entreprise lorsqu'elle roulait à fond. Plus de deux cents Chinois, en plus des charretiers blancs et des patrons. et environ cent chevaux.
Ça devait être un endroit occupé.

Merci de nous avoir montré et raconté comment cela se passait dans ce temps-là. C'était vraiment intéressant.
De la manière dont tu l'as dit, on avait l'impression d'être là avec les Chinois.
Oui, c'était tout un endroit. Je ne suis plus capable de marcher très loin maintenant, mais j'aimerais marcher sur le vieux chemin de débusquage. Ça me rappellera des souvenirs.